Législatives ivoiriennes / désert storm : Le FPI démontre qu’il est incontournable.
Bureaux de vote dramatiquement déserts en ce jour d’élections Ivoirienne.
L’abstention semble, à la fermeture des bureaux de vote, être la grande gagnante des élections législatives en Côte d’Ivoire.
Toute une journée, depuis 7h pétante jusqu’à 17h, à sillonner les quartiers d’Abidjan à travers une quarantaine de bureaux de vote pour un seul et même constat : une vacuité générale.
L’abstention, pour ce scrutin législatif post crise, sera sans nul doute record et ce ne sont pas les valeureux agents de la CEI ou les représentants des candidats rencontrés généralement en pleine oisiveté, pour les plus téméraires qui tentaient de rester par ailleurs éveillés, et les retours d’information qui parviennent de l’intérieur, qui attesteront d’une tendance contraire.
36 votants sur 175 inscrits par ci, 24 sur 126 par là, énumérer la liste des constats tendrait à une litanie plus adéquat à la vétusté d’une chose politique qui semble avoir perdu son capital sympathie au profit d’un laxisme localement encombrant au regard du renouveau souhaité de premier plan, qu’à une euphorie juvénile des premiers instants.
Telle une première leçon à tirer, le revers politique ivoiro-ivoirien qui se dessine sera sans nul doute antagoniste à la satisfaction de la globalité de la communauté internationale.
Fort d’un constat amorphe, d’ensemble peu enclin à l’énergie de quelconque perturbation de quelque ordre qu’elle soit, l’accalmie constatée tranchera les derniers soupçons sécuritaires de velléité.
Alassane Ouattara avait promis à l’audience attentive à l’évolution du climat post crise en Côte d’Ivoire, un chronogramme respecté, un scrutin apaisé et une réconciliation progressive.
Si les deux premières promesses semblent à cette heure atteintes, la dernière, aussi fondamentale soit elle, se conjugue encore au regard de l’attitude des ivoiriens ce dimanche, avec les rancœurs et les dégoûts.
L’abstention semble, à la fermeture des bureaux de vote, être la grande gagnante des élections législatives en Côte d’Ivoire.
Toute une journée, depuis 7h pétante jusqu’à 17h, à sillonner les quartiers d’Abidjan à travers une quarantaine de bureaux de vote pour un seul et même constat : une vacuité générale.
L’abstention, pour ce scrutin législatif post crise, sera sans nul doute record et ce ne sont pas les valeureux agents de la CEI ou les représentants des candidats rencontrés généralement en pleine oisiveté, pour les plus téméraires qui tentaient de rester par ailleurs éveillés, et les retours d’information qui parviennent de l’intérieur, qui attesteront d’une tendance contraire.
36 votants sur 175 inscrits par ci, 24 sur 126 par là, énumérer la liste des constats tendrait à une litanie plus adéquat à la vétusté d’une chose politique qui semble avoir perdu son capital sympathie au profit d’un laxisme localement encombrant au regard du renouveau souhaité de premier plan, qu’à une euphorie juvénile des premiers instants.
Telle une première leçon à tirer, le revers politique ivoiro-ivoirien qui se dessine sera sans nul doute antagoniste à la satisfaction de la globalité de la communauté internationale.
Fort d’un constat amorphe, d’ensemble peu enclin à l’énergie de quelconque perturbation de quelque ordre qu’elle soit, l’accalmie constatée tranchera les derniers soupçons sécuritaires de velléité.
Alassane Ouattara avait promis à l’audience attentive à l’évolution du climat post crise en Côte d’Ivoire, un chronogramme respecté, un scrutin apaisé et une réconciliation progressive.
Si les deux premières promesses semblent à cette heure atteintes, la dernière, aussi fondamentale soit elle, se conjugue encore au regard de l’attitude des ivoiriens ce dimanche, avec les rancœurs et les dégoûts.
Certes, ce n’est qu’un scrutin législatif et qui n’a mis en évidence, au grand dam des progressifs, qu’une médiocrité palpable de candidats plus soucieux de leurs intérêts personnels que de celui de l’intérêt général, mais sans nul doute un premier avertissement populaire de taille, pour qui se doit d’annihiler le dogme endémique de la loi du plus fort, frustrante qui motivera le boycott de l’opposition.
L’aigreur des vaincus d’hier est toujours de vigueur, celle des victorieux d’aujourd’hui, aveuglante, au point de se laisser tenter au ...lire la suite sur San Finna.
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